Appel aux mécènes et partenaires

janvier 23, 2024

Trois combats de David. Trois Goliaths. Une œuvre. Une promesse.

Ce premier roman est bien plus qu’un livre.
C’est le point de départ d’une saga, profondément humaine, qui bien que romancée, s’ancre dans le réel.
Il raconte l’histoire d’un homme seul — Mèl Malki — qui, sans armes ni statut, se dresse à trois reprises face à des puissances écrasantes.
Non pas une fois. Trois fois.
Chaque fois, un Goliath différent.
Chaque fois, la même posture intérieure de David : calme, déterminée, lucide, stratège.
Chaque fois, une victoire arrachée non par la violence, mais par l’endurance, la clarté, la foi en la justice.

Premier Goliath : l’État

Un engrenage administratif absurde. Des contraventions injustes. Des policiers impunis. Une machine froide et sans visage.
Mèl s’y heurte. Il vacille. Puis il se dresse, rassemble les preuves, affronte l’inertie, et gagne.
Mais ce combat le transforme. Il comprend qu’au cœur même de l’injustice, il existe un levier. Et ce levier, c’est la procédure.

Deuxième Goliath : le monde du travail

Un rêve : entrer à la Blue French Airlines.
Mais derrière les promesses, un labyrinthe de contrats précaires, de silences, de manœuvres RH.
Mèl persiste. Il donne tout. Il est rejeté. Il se relève. Il continue d’y croire. Il va de l’avant.
Et c’est dans ce refus, dans cette exclusion silencieuse, qu’il forge une arme plus durable que n’importe quel contrat : l’expérience.

Troisième Goliath : le pouvoir économique

Des e-mails reçus. Un objectif fixé. Une réussite éclatante.
Une mission sensible confiée par le dirigeant de l’entreprise qui l’emploi. La supervision de la directrice Commerciale et Marketing. Une échéance précise.
Une réussite complète, mobilisant 400 personnes. L’image de l’entreprise transformée.

Et quatre jours plus tard : un licenciement brutal. Le silence des puissants.
Quinze mois plus tard, les Prud’hommes reconnaissent l’illégalité.
Et dans l’intervalle, deux géants du marché imitent ses méthodes.
Le geste d’un seul homme, avec presque rien, fait bouger des entreprises qui pèsent des milliards.
Cette histoire, vérifiable, documentée, n’est pas une fiction.
Elle est à la source de Itinéraire d’un mystique procédurier, et annonce Itinéraire d’un mystique des télécoms – Le Bûcher.

Une œuvre vivante, qui dépasse l’auteur

J’ai la conviction que ces romans, par la légende vraie qu’ils incarnent, peuvent marquer des générations.
Ils parleront à ceux qui doutent. À ceux qui cherchent un repère.
À ceux qui ont cru, un jour, que leur voix ne comptait pas.
Car cette œuvre est née de l’effondrement. D’une rupture. D’une trahison silencieuse qui, paradoxalement, m’a révélé à moi-même.
C’est à la New York Public Library, entre deux doutes et un éclat de lucidité, que l’idée m’est apparue :
et si je transformais ces épreuves en récit ?
Et si je bâtissais, à partir de ces ruines, une architecture d’espoir ?
Ce roman est la preuve que c’est possible.

Ce qu’il ne fera pas, c’est laisser indifférent

Certains y puiseront du courage. D’autres de l’inspiration — ou peut-être un simple divertissement.
Mais aucun lecteur sincère ne ressort indemne d’un tel face-à-face avec les rouages de l’injustice.
Parce que cette histoire pourrait être celle de n’importe qui. C’est ce qui la rend universelle.

Pourquoi un mécène ?

Parce que cette œuvre n’est pas un produit.
C’est une boussole dans une époque désorientée.
Un levier d’éveil collectif.
Une impulsion pour ceux qui veulent lire autrement, espérer autrement, résister autrement.
Aujourd’hui, je cherche à m’entourer de mécènes lucides et tournés vers l’avenir.
Des hommes et des femmes qui souhaitent transcender leur existence pour s’inscrire durablement dans l’histoire.
Je pense à Elon Musk, Martin Bouygues, aux dirigeants de SFR, Orange, Vodafone, Deutsche Telekom…
Et à tous ceux qui, en lisant ces lignes, comprendront qu’il ne s’agit pas de corriger le passé — mais de faire émerger quelque chose de plus grand.

Une alliance à bâtir

Ensemble, nous pouvons faire de ces romans un vecteur d’impact mondial :

  • En soutenant leur diffusion et leur traduction dans toutes les langues utiles ;
  • En donnant naissance à une maison d’édition indépendante, libre, audacieuse, qui ne pliera devant aucun intérêt privé ;
  • En créant une fondation pérenne, inspirée d’Andrew Carnegie, tournée vers la justice, la mémoire et la transmission.

Je veux bâtir une œuvre qui me dépasse. Une œuvre qui survit à l’auteur.
Un écosystème de création et de diffusion, libre, éthique, enraciné dans les faits, et ouvert à tous les imaginaires.

Une proposition de vérité

C’est aussi une promesse : celle de transformer une faille en tremplin, une injustice en œuvre, un homme seul en symbole partagé.
Une promesse de construire, à partir du silence, un écho qui traverse le temps.
Je tends les mains.
Lesquels d’entre vous les prendra ?