Itinerary of a Procedural Mystic

juin 21, 2025

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La sortie mondiale de mon premier roman : quand Mel Malki franchit les frontières

Voici un nouvel événement que je suis très fier de vous présenter, la sortie de mon premier roman traduit en anglais américain. Il devient mondial et a l’ambition de toucher le monde entier.

Ces histoires de lutte, de résistance, de résilience, d’amour et de transformation intérieure sont capables, je le crois vraiment, d’inspirer et d’insuffler à beaucoup le courage et la détermination qu’a eue Mel Malki de se dresser face à des goliaths que sont l’administration et les grandes entreprises parfois trop rigides dans leur processus de recrutement.

Cette véritable leçon de résilience et cette capacité à rebondir, quelle que soit la situation problématique, fut apprise de haute lutte.

Je crois que chacun d’entre nous a en soi quelque chose de viscéralement authentique qui, s’il parvient à être touché, est capable de transformer un agneau inoffensif en un lion rugissant sa majesté.

Quand cette partie intime de vous-même est touchée, force, courage, énergie, résilience, génie stratégique se déversent en vous à partir d’elle, vous métamorphosant en une meilleure version de vous-même, une version noble.

Puisse Mel Malki et ses événements basés sur des faits réels que l’auteur a lui-même vécu vous inspirer et vous transporter.

Naissance d’un roman dans le chaos

J’aimerais revenir un instant sur l’origine de ce roman.

Il ne s’est pas écrit dans un bureau calme avec vue sur jardin, ni dans un confort de sécurité émotionnelle. Il est né dans le chaos. Dans un moment de rupture.

J’étais à New York quand j’ai commencé à griffonner les premières phrases, sans savoir si un jour elles deviendraient un livre. Je me souviens de la grande salle de la New York Public Library. D’un rire qui m’échappa, discret mais sincère, alors que j’écrivais une scène improbable entre deux personnages. Et de cette sensation étrange — douce et percutante — que j’avais mis le doigt sur quelque chose de vrai.

Puis la vie a repris son cours. Le manuscrit est resté en sommeil pendant des années.

Jusqu’à ce qu’un événement brutal, injuste, remette tout en lumière.

C’est à ce moment-là que j’ai compris : cette histoire n’était pas qu’un texte, c’était un cri.

Un cri contre l’absurde, contre les silences, contre les mécanismes froids de certains systèmes où l’humain se dissout.

C’était aussi un cri d’espoir. Car tout ce que Mèl vit, je l’ai vu, je l’ai senti, parfois je l’ai porté. Et je sais que je ne suis pas seul.

Un héros imparfait qui ne plie jamais

Ce roman ne raconte pas une revanche. Il raconte une renaissance.

Mel Malki n’est pas un héros parfait. Il n’est pas lisse. Il ne gagne pas à tous les coups.

Mais il ne plie pas.

Et s’il tombe, il se relève.

Il apprend à se tenir droit, même quand tout vacille. Il doute, il se trompe, il aime trop parfois, pas assez d’autres fois.

Mais au fond, il cherche la même chose que nous tous : un endroit où exister pleinement, sans devoir renier ce qu’il est.

Quand je relis certaines scènes, je me revois dans les détails. Dans cette marche sous la pluie, seul, après une lettre de refus. Dans cette colère rentrée. Dans cette envie soudaine de tout plaquer.

Et dans cette petite voix intérieure qui disait : continue.

J’ai écrit ce roman comme on écrit une prière.

Pas une prière religieuse. Une prière intérieure.

Un appel à rester debout, à faire confiance à cette force en nous, à ce feu discret mais indestructible.

Une histoire universelle qui traverse les frontières

Depuis sa sortie en France, de nombreux lecteurs m’ont écrit. Certains m’ont confié avoir pleuré. D’autres avoir ri. Beaucoup m’ont dit avoir retrouvé un fragment d’eux-mêmes dans les lignes de Mèl.

C’est cela qui m’a convaincu d’aller plus loin.

Car ce que vit Mèl ne se limite pas à la France.

Le regard froid d’un recruteur qui n’écoute pas.
L’indifférence d’une institution.
La sensation d’être un numéro, un fichier.

Tout cela, je sais que des lecteurs américains, brésiliens, allemands, espagnols, marocains, indiens… peuvent aussi le ressentir.

Les émotions humaines ne connaissent pas de frontières.

Elles nous relient.

Et quand une histoire est juste, quand elle touche une vérité universelle, elle a le droit — et peut-être même le devoir — d’être partagée au monde entier.

L’avenir du roman : une ambition mondiale

Je ne suis pas un écrivain venu des grandes écoles.

Je suis venu par les marges. Par les failles.

Et je revendique cela.

Ce n’est pas une faiblesse, c’est une origine.

J’ai voulu créer un roman accessible et profond. Un roman capable de toucher ceux qui ne lisent pas beaucoup, et d’émouvoir ceux qui lisent tout le temps.

Un roman qui ne soit pas une fuite hors du réel, mais un ancrage dans ce que la vie a de plus fort, de plus violent parfois, et de plus beau aussi.

La traduction américaine, aujourd’hui, est une première étape.

La version portugaise est déjà en route.

Suivront l’espagnol, l’italien, et d’autres encore si l’élan continue.

Je ne cours pas après les chiffres. Je cours après l’impact.

Si vous avez lu ce roman, et qu’il vous a touché : parlez-en.

Partagez. Offrez-le. Offrez une part de vous avec.

Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous invite à tenter l’expérience. Ce n’est pas une lecture de plus. C’est une traversée.

Mèl Malki n’est peut-être pas un héros.

Mais il est un frère d’âme pour beaucoup.

Un veilleur de nuit, un résistant du silence, un homme debout là où d’autres baissent les bras.

Merci à vous.

Merci à ceux qui suivent cette aventure depuis le début.

Merci à ceux qui arrivent aujourd’hui, et qui lisent ces mots.

Ce roman est une œuvre vivante. Il est né d’une chute.

Il a grandi dans le doute.

Et le voilà maintenant, debout à son tour.

Camel Talbi
Écrivain par accident, mais pas par hasard.

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