Réalité derrière la fiction
Bien qu’il s’agisse d’une fiction, ce roman se base sur des expériences réelles et vécues. Tout ce qui a trait au combat face à l’État et aux policiers responsables des fausses contraventions sont véridiques, jusqu’à la conclusion devant le tribunal. Je n’ai fait que raconter ce que j’avais vécu, ainsi qu’imaginer ce qui avait pu se passer dans l’esprit des fonctionnaires.

Les inspirations internationales
Les origines de Wozniek se sont inspirées du début de la guerre de la Russie face à l’Ukraine. La scène de l’exécution de son père fut visionnée durant les informations à cette époque. Ces images bouleversantes ont nourri la construction de ce personnage et son parcours traumatique.
Le combat professionnel de Mèl
Le combat de Mèl pour intégrer la BFA s’est réellement passé, ainsi que les courriers envoyés aux responsables de cette compagnie, dont je tairai le véritable nom. Les courriers recommandés au ministre, Xavier Bertrand, ainsi que sa réponse sont également véridiques, jusqu’à la lettre au président de la République de l’époque et les plaintes en justice. Cette lutte administrative et juridique illustre parfaitement les obstacles institutionnels que de nombreuses personnes rencontrent.
Sonia et Damien : vérité romancée
La relation de Sonia et ce qui arriva à Damien sont également véridiques. Cette histoire est réellement arrivée et m’a été contée dans le détail. Je l’ai un peu romancée, mais les points critiques sont réels. Ce témoignage poignant reflète des réalités sociales souvent ignorées dans notre société.
Les voix de la sagesse populaire
Les critiques et les craintes exprimées par Bougha et Martine sont réelles et ont été retranscrites avec fidélité. Ces personnages incarnent des perspectives authentiques sur nos institutions et nos systèmes sociaux, des voix qu’il me semblait important de faire entendre.